Mercredi 8 septembre 2021 à 19h – Au DOC à Paris
En 1971 Guy Hocquenghem écrit, dans un article faisant la publicité du FHAR : “vous êtes individuellement responsable de l’ignoble mutilation que vous nous avez fait subir en nous reprochant notre désir.”
Cette question du désir ouvre une lutte qui rend indissociable le combat pour une sexualité libre et le respect des identités. Ainsi les sexualités sont politiques et sont parties prenantes des luttes. “Oui, nous sommes une nébuleuse de sentiments et d’action”.
Tantôt drôle tantôt militante sans cesse politique cette séance ravive la mémoire LGBTQI+ en passant par les sexualités comme forme de militantisme, comme jouissance, comme mode d’existence publique, comme épanouissement personnel.